Fafpa serve-t-il encore à quelque chose

Violation des termes de convention de formation mise en insécurité des prestataires, tripatouillage de formation, impossibilité de garantir des formations en bonne et due forme malgré le besoin, voilà entre autres, les qualifications que l’on peut attribuer au Fafpa sous l’actuel directeur, Mohamed Albachar Touré.
Longtemps à la commande de ce service tant convoité, l’homme a montré ses limites. Avec des impayés des prestataires, Fafpa est en phase de perdre sa crédibilité. Au détriment des prestataires, des agents tripatouillent et initient des formations sur papier dans le seul but de se taper des briques, Albachar est l’unique responsable de ce cafouillage en tant que signataire des chèques. Avec cette pratique, impossible pour les prestataires de bénéficier des formations malgré les besoins exprimés. Le directeur n’est plus en phase avec les orientations que l’Etat a donné à cette structure. Etablissement à caractère public, Fafpa était une fierté pour des jeunes et des femmes qui espèrent prendre la vie du bon côté. Ce rêve est brisé suite à une mauvaise gestion qui s’est installée sous Albachar. En lieu et place d’être une opportunité pour la jeunesse, il devient une menace pour l’Etat car, les ressources maigres sont volatilisées. Certains jeunes ayant bénéficié des études ou des formations professionnelles grâce à Fafpa n’arrivent pas à rentrer en possession de leur diplôme suite à la velléité du directeur.
La signature contre des avances?
Apparemment, le DG Touré aime les massages. Pour pouvoir mettre certains prestataires féminins dans leur droit, on apprend que le directeur propose souvent des avances de massage. Cette opération est hors service. Car, l’homme a une belle maison dans un quartier de la commune V qui est devenue son second bureau. Pas pour travailler, mais pour se faire plaisir. Cette pratique ne s’aurait être digne d’un directeur de son rang
Fahdy/ Le Dénonciateur